Il n’y a aucun doute que la découverte de l’ADN et la cartographie du génome sont des avancées médicales et biologiques remarquables. Avec de telles informations sur le fonctionnement du génome humains, il est enfin possible de retracer les maladies génétiques et les prévenir. Il y a tellement d’utilisations possible de génome, qu’il a d’ores et déjà permis de des avancées significatives pour améliorer la santé de l’homme.
D’un autre côté, il y a un autre type de chercheurs, qui, eux semblent s’amuser avec l’ADN et le génome. Ils s’amusent à assembler et séparer les gènes juste pour voir ce qui se passe, et voir quel type de créature nouvelle naîtra de leur manipulation du génome.
Découvrez dans la suite les expériences de modifications génétiques les plus folles et les plus bizarres qui ont été commises par des scientifiques un peu fous.
1- Le GloFish
Si vous voulez un exemple de scientifiques qui font des expériences à tout va, découvrez les GloFish. Génétiquement modifiés pour briller dans le noir, il ne servent à absolument rien d’autre. Les recherches ont pourtant débuté avec de nobles intentions : Ces poissons étaient censés être des détecteurs de pollution, en brillant chaque fois qu’ils entrent en contact avec un agent polluant. Mais l’appât du gain a fait de ce noble projet au départ, une opération commerciale qui proposait de décorer son intérieur grâce à l’une des 6 couleurs de poissons brillants.
2- Les Grapples
Un autre exemple de recherche scientifique qui a été détournée pour un usage commerciale. Les Grapples ressemblent à des pommes mais ont goût de raisin. Cette idée est née pour permettre aux enfants américains, qui n’aimaient pas le goût des pommes, de profiter du croquant de la pomme en même temps que le bon goût sucré des raisins.
3- La banane-vaccin
Développée en 2007, la banane-vaccin à été pensée pour être utilisée dans les pays en voie de développement où la stérilisation des aiguilles n’est pas toujours possible. Au lieu d’un vaccin traditionnel, les malade et patients se verraient offrir une banane génétiquement modifiée, qui est le fruit d’un bananier auquel on aurait injecté le virus de l’hépatite B.
Les chercheurs expliquent la chose de la sorte : Lorsqu’un jeune bananier est injecté du virus, les gênes de ce dernier s’intègrent à l’ADN de k’arbre, qui donne des bananes qui contiennent les protéines du virus, mais pas la partie infectieuse. Ainsi, lorsque quelqu’un mange cette banane, son corps produit des anticorps, tout comme pour un vaccin normal.